La situation économique de la Martinique évolue dans le même sens que l’économie métropolitaine, mais avec un certain décalage, compte tenu de la structure de l’économie locale et des soubresauts conjoncturels (conflits sociaux, cyclones,…). La Martinique, comme les autres départements français d'outre-mer, reste dépendante de la métropole pour sa survie économique, en dépit de mesures et subventions spécifiques. Le commerce extérieur est fortement déséquilibré, envers la métropole comme envers le reste du monde.
Au plan économique la Martinique présente trois atouts majeurs :
- les équipements collectifs sont développés, performants et leur amélioration se poursuit (l’aéroport international du Lamentin depuis 1995, le port de la Pointe des grives en 2002);
- la population dispose d’un niveau de formation élevé, pouvant être apprécié par le taux d’équipement en ordinateurs et le taux de connexion à Internet, tous deux supérieurs à la métropole;
- le système financier local dispose d’un réseau dense et ses ressources sont abondantes (les dépôts y sont supérieurs aux engagements).
En revanche, cette économie reste fragile du fait :
- d’une base productive réduite (part du secteur marchand dans le PIB plus faible qu’en métropole, 75% contre 86%);
- d’une forte dépendance vis à vis des importations (taux de couverture importations/exportations inférieur à 17%) ;
- un chômage structurel élevé (taux supérieur à 24% en 2001).
Au plan économique la Martinique présente trois atouts majeurs :
- les équipements collectifs sont développés, performants et leur amélioration se poursuit (l’aéroport international du Lamentin depuis 1995, le port de la Pointe des grives en 2002);
- la population dispose d’un niveau de formation élevé, pouvant être apprécié par le taux d’équipement en ordinateurs et le taux de connexion à Internet, tous deux supérieurs à la métropole;
- le système financier local dispose d’un réseau dense et ses ressources sont abondantes (les dépôts y sont supérieurs aux engagements).
En revanche, cette économie reste fragile du fait :
- d’une base productive réduite (part du secteur marchand dans le PIB plus faible qu’en métropole, 75% contre 86%);
- d’une forte dépendance vis à vis des importations (taux de couverture importations/exportations inférieur à 17%) ;
- un chômage structurel élevé (taux supérieur à 24% en 2001).
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